Voyageons à travers le monde et apprenons à vivre comme eux, à manger comme eux et à suivre leur coutume. Une semaine en Martinique pour chasser des crabes.
Partir en Martinique
En ce moment, il faut toujours être prudent au voyage. Les mesures sanitaires pour l’entrée et sortie des gens sont strictes, donc il faut suivre les barrières sanitaires. Ce voyage était dans mon carnet depuis maintenant un an. C’était une vraie échappée à la vie quotidienne et une retrouvaille sympathique avec des gens charmants. Une ville qui mérite un tour quand vous en avez l’occasion, le soleil est toujours là, on a le rythme du Sega dans nos oreilles, les filles sont très belles. Mais c’est surtout une ville qui m’a appris à chasser les crabes.
Partons à la chasse des crabes
Au début, j’étais très enthousiasmé et je me suis dit que je n’ai pas peur, mais plus on approche de la mangrove, plus j’ai la boule dans l’estomac. Le guide nous dicte un peu tout, il en attrape une trentaine de crabes par jour pour ses clientèles. Il y a trois types de crabes à la Martinique, le petit crabe nommé « C’est ma faute », et puis les Touloulous, ils sont dans les racines, et puis les dormeurs qui vivent dans la mangrove vraiment. Les habitués les chassent avec un petit bâton et un sac.
Préparer les crabes
Alors là, nous avons choisi le crabe dormeur, il est plutôt gros. On bouillit de l’eau salée durant 15 minutes, dans laquelle on y ajoute du bouillon. On prépare dans une assiette les arômes, du thym, des ails, et un peu de vin blanc aussi. Pour le temps de cuisson, un kilo de crabe se cuit en une vingtaine de minutes. On enlève le crabe dans l’eau et on le laisse tiédir sur une passoire, pas dans le frigo ou dans une eau glacée.
Il ne nous reste plus qu’à décortiquer les crabes et les présenter sur une belle assiette. À part le goût de crabes, d’autres activités sont sympathiques en Martinique, comme le plongeon.